« La douleur est un phénomène bio-psycho-social qui influence le corps, l’esprit et les relations. »
La douleur apporte une souffrance qui peut affecter notre humeur, nos comportements, nos désires et nos routines.
La douleur est souvent invisible. Nos proches peuvent difficilement s'imaginer la réalité que vous portez et après quelques semaines ou mois, ils peuvent se mettre à douter de votre situation. Il peuvent parfois vouloir bien faire, mais leurs "encouragements" ou commentaires peuvent donner l'impression de jugements. Et éventuellement, il peut devenir plus simple de rester chez soi, éviter les gens.
Si vous avez une douleur persistante, il y a des fortes chances que vous avez développez certains comportements de compensation. Cela est tout à faire normal! Cependant, il n'est jamais trop tôt pour identifier ces comportements afin d'éviter qu'ils deviennent invalidant.
Je vous invite à lire et réfléchir si vous êtes « en accord » ou « en désaccord» aux questions suivantes. Il ne s’agit pas d’un outil officiel ou d’un moyen de vous auto-diagnostiquer, mais il consiste en un moyen de réfléchir à votre propre condition.
Ce quiz n’est pas un outil diagnostique; il sert à réfléchir à votre relation avec la douleur et le mouvement.
J’ai peur de me blesser si je fais de l’activité physique.
Si je faisais de l’activité physique, ma douleur serait probablement empirée.
Les gens ne prennent pas mon état de santé assez au sérieux.
Mon accident a mis mon corps en danger pour le reste de mes jours.
La douleur signifie en tout temps que je me suis blessé(e).
J’ai peur de me blesser accidentellement.
La meilleure façon d’empêcher que ma douleur s’aggrave est de ne pas faire des mouvements inutiles.
Il n’est pas prudent qu’une personne avec un état de santé comme le mien soit physiquement active.
Je ne peux pas faire tout ce qu’une personne normale peut faire parce que j’ai plus de risques de me blesser.
La kinésiologie utilise un protocole d’exposition graduée au mouvement, inspiré des approches cognitivo-comportementales pour les phobies, mais adapté aux réalités de la douleur et des blessures.
Analyse de la condition, des objectifs et des obstacles (contexte de vie, travail, anxiété, craintes). Définition de repères de sécurité et de critères de progression.
Choix d’exercices peu irritants, dosage précis (fréquence, volume, intensité) et paliers de progression (amplitude, charge, complexité, contexte).
Objectif : bouger sans augmentation marquée de la douleur tout en augmentant la capacité.
La pratique régulière bien dosée favorise la désensibilisation aux mouvements redoutés, diminue l’évitement et renforce l’auto-efficacité.
Reprise progressive des activités qui comptent pour vous, avec plus d’aisance et de confiance. Ajustements continus pour consolider les acquis et favoriser l’autonomie.
Ma mission est simple : redonner à chacun la possibilité de vivre activement et pleinement.
Pour y arriver, j’accompagne les gens à libérer la douleur par le mouvement, à transformer la fatigue en énergie et à retrouver l’équilibre face au stress.
Une approche fondée sur l’éducation et la prise d’autonomie
Une intégration réaliste qui respecte vos préférences et votre quotidien chargé
Une vision humaine qui met la personne au centre, avant toute étiquette
Diplômé en kinésiologie de l’Université de Montréal et membre de la Fédération des kinésiologues du Québec, j’accompagne autant les personnes vivant avec de la douleur ou des enjeux de santé mentale que celles qui désirent améliorer leur condition physique et atteindre leur plein potentiel.
Près de 10 ans d’expérience dans le domaine du mouvement et de l’entraînement
Baccalauréat en kinésiologie à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, avec de nombreux stages cliniques, dont au CHUM
Certification en réadaptation de la douleur chronique obtenue auprès de l’Institut de kinésiologie du Québec
Kinésiologue clinicien
Surmonter la kinésiophobie ne veut pas seulement dire « bouger de nouveau » — c’est aussi retrouver la confiance, la liberté et une meilleure qualité de vie. Voici ce que vous pouvez attendre d’un suivi adapté :
Apprendre à bouger sans crainte, réduire l’appréhension et retrouver la maîtrise de vos gestes au quotidien.
Le mouvement adapté aide à diminuer la sensibilité, améliorer la tolérance et réduire les tensions accumulées.
Retrouver une aisance articulaire et musculaire grâce à une progression graduée, adaptée à votre rythme.
Développer des outils pratiques pour reprendre vos activités, vos loisirs et améliorer votre qualité de vie pour ainsi réduire votre kinésiophobie.
Apprendre à respirer, relâcher les tensions et intégrer des stratégies actives pour mieux gérer la douleur et l’anxiété.
Reprendre graduellement vos activités préférées avec plaisir et sécurité, en évitant la peur de rechuter.
Réponses simples et concrètes sur la kinésiophobie — la peur du mouvement — et la manière dont un accompagnement en kinésiologie peut vous aider à reprendre confiance, étape par étape.
Prêt à retrouver confiance dans le mouvement?
Un plan simple, progressif et sécuritaire pour repasser de l’appréhension à l’aisance, à Mascouche ou en ligne.